29 juin 2019
Jour de célébration, de réjouissance et de fierté que cette inauguration officielle du pont Samuel-de-Champlain à Montréal.
Je dis bien événement «officiel», donc protocolaire. Il s’agit d’une date marquante qui restera dans l’histoire de la ville. La majorité des personnes qui sont intervenues à cette occasion étaient conscientes de la portée de l’événement et s’y étaient préparées sauf, de toute évidence, Valérie Plante qui ne semble pas faire la distinction entre les événements protocolaires, les bains de foules et autres niveaux d’interventions. Je ne peux pas oublier sa prise de parole à Québec lors de l’attentat à la Mosquée en 2017. J’ai eu honte…
Comment se fait-il que son entourage ne réussisse pas à la mieux conseiller? Ferait-elle fi des conseils pour donner libre cours à ses fantaisies débridées? On dirait une gamine inconsciente.
Je veux bien que l’on ne soit pas guindé, mais il n’est pas nécessaire de l’être pour dire des choses essentielles dans un contexte spécifique. Lorsqu’on se sait non virtuose en improvisation (mais faut-il en être conscient), on se prépare.
Valérie Plante, décevante! extrêmement décevante dans ses interventions publiques!
Si tous ceux qui ont travaillé à l’érection de ce pont avaient été aussi laxistes que Madame la mairesse, s’ils avaient pareillement manqué d’autant de rigueur, le nouveau pont serait à risque.
Heureusement que le ministre Champagne avait fait ses devoirs; il a donné plus d’étoffe et de hauteur à sa prise de parole, particulièrement en rappelant qui était Samuel-de-Champlain. Il ne semblait pas le connaître mais il a eu l’intelligence de ce documenter.
Oui, j’ai des attentes à l’égard des personnalités publiques qui me représentent.