25 juillet 2024
Au cours de mes lectures, comme des vôtres d’ailleurs, de petites ou grandes phrases imprévisibles bousculent, bouleversent profondément.
«Savoir qu’au moins une personne sur terre ne vous fera jamais défaut, dans les moments difficiles» (Ken FOLLET Un monde sans fin (p. 836)
est l’une de ces phrases qui me renvoie à la profondeur de la solitude existentielle.
Cette personne, ma mère, n’est plus sur terre depuis 25 ans. Je lui suis infiniment reconnaissante d’avoir été essentielle pour elle et je veux croire qu’il en est toujours ainsi où qu’elle soit.
Cette conviction s’appuie sur sa générosité sans bornes tant dans l’action que dans la discrétion.