24 mars 2018
Depuis quelques jours une danse d’émotions m’habite. Elle est née d’une impressionnante interprétation de la Sonate pour deux pianos en ré majeur K448 de Mozart proposée par Charles Richard-Hamelin et Benedetto Lupo.
La beauté de la musique et l’excellence de l’interprétation m’ont aspirée vers la grande expérience esthétique. Dans ce cas, la déclinaison des qualités de l’exécution me semble superflue.
J’ai été séduite. J’ai été émue et j’en témoigne.
Ce n’était pas la seule oeuvre au programme de ce concert mais ce fut le moment de grâce.
On ne regrette jamais de s’être déplacé pour garder une pareille empreinte.