12 octobre 2019
Je ne jouerai pas à la critique du critique mais je relèverai une abstention dans le texte publié par Christophe Huss dans le Devoir du 11 octobre sur le concert de l’orchestre métropolitain à la Maison symphonique jeudi, le 10 octobre.
Des commentaires sur la cheffe, sur les oeuvres mais pas l’ombre non seulement d’un mot mais d’une lettre sur la soliste qui interprétait la partie de cor anglais du concerto de Sunabacka: Mélanie Harel.
Être ignorée est sans doute plus blessant que d’être critiquée.
Un oubli? Vraiment?
J’aurais souhaité un minimum d’élégance et de respect.
Il y a aussi les musiciens qui font le concert.