6 avril 2016 (2e billet)
Ayant surtout écrit tant au niveau des études que du travail dans des contextes plus objectifs que subjectifs, j’avais envie de m’offrir un lieu d’écriture plus spontanée où je peux me donner le droit de laisser jaillir sans trop de filtres les émotions que suscitent chez moi ce que j’entends, ce que je lis, ce que j’écoute dans les domaines les plus divers qui m’intéressent et m’interpellent.
Mon « clavier émotionnel » est hypersensible… j’ai envie de moins le museler.
Nicole Trudeau