28 octobre 2024
Merci, Madame Fatima Aboubakr, de votre témoignage dans votre article publié dans Le Devoir du 22 octobre 2024, Ne plus tolérer l’intolérance.
Vos propos jettent une lumière trop rare sur des réalités pourtant très importantes; ils les nomment, les expliquent et les dénoncent. Ils réclament, à juste titre, de la vigilance.
«(…) Comme Québécoise d’origine marocaine, je peux témoigner du combat que j’ai dû mener contre l’islamisme depuis que je suis au Québec.»
«(…) quelques personnes suffisent pour compliquer la vie des autres et faire d’un environnement de travail un milieu toxique.»
Madame Aboubar, éducatrice dans une garderie subventionnée, puis directrice de sa propre garderie, ainsi que mère, expose dans son article
«quelques exemples de ce que peut subir une femme d’origine maghrébine qui tente, tant bien que mal, de faire sa vie normalement et de s’intégrer à la société québécoise.»
Après avoir témoigné de son parcours et de son vécu, elle fait le constat suivant :
«Les responsables politiques ne semblent malheureusement pas suffisamment conscients de l’emprise, sur les communautés immigrantes elles-mêmes, d’individus ayant eu une éducation religieuse les rendant insensibles à la laïcité, au développement de l’esprit critique, ou même à la simple acceptation de l’autre.»
«Il ne suffit pas d’avoir des lois, encore faut-il les faire respecter. Et pour commencer, il faudrait arrêter de tolérer l’intolérance.»
Il faudrait donc avoir le courage de ses choix.
Merci Madame d’avoir publiquement ce courage
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SOURCE:
Aboubakr, Fatima / Ne plus tolérer l’intolérance / Le Devoir / Section Idées / 22 octobre 2024