13 février 2023
Ce qui est fracassant dans ce roman de Jacques Poulin, Les grandes marées, c’est la fin, le dernier chapitre qui nous brisent, qui nous étranglent.
On passe du paradis à la tétanisation émotive, de la douceur et du calme à l’empoisonnement moral, aux grandes marées qui engloutissent l’espoir. Et tout cela, dans une langue sans enflure: Le calme avant le tremblement de terre.
Un choc!
Au lieu de vous raconter l’histoire, je vous suggère de parcourir les commentaires des lecteurs qui le font bien, puis d’aborder la lecture qui sera d’abord gentille avec vous.
Source:
POULIN, Jacques / Les grandes marées / Les éditions Leméac / 1978