27 novembre 2022
Après avoir disserté pendant plus de 160 pages sur le bonheur à partir des questions suivantes énoncées dans le prologue de La plus belle histoire du bonheur
«(…) que signifie être heureux? Y a-t-il des recettes au bien-être? Où se niche le bonheur? (…) Est-il dans ce que nous avons ou dans ce que nous sommes?»
les auteurs André Comte-Sponville, philosophe, Jean DeLumeau, historien des mentalités religieuses et Arlette Farge, historienne spécialiste du XVIIIe siècle concluent ainsi l’Épilogue:
«Le Bonheur n’est ni dans l’être ni dans l’avoir. Il est dans l’action, dans le plaisir et dans l’amour.» (p. 166)
D’accord? Lire. Apprendre. Réfléchir. Choisir.
La structure du livre rappelle un peu celle du théâtre en ce sens qu’elle s’articule en trois actes eux-mêmes déployés en trois scènes
Premier acte – Aux origines de la sagesse
Deuxième acte – L’invention du paradis
Troisième acte – Le rêve des modernes
Le tout encadré par un prologue et un épilogue.
Source:
COMTE-SPONVILLE, André, DELUMEAU, Jean, FARGE, Arlette / La plus belle histoire du bonheur / Paris, Éditions du Seuil, 2004 / 166 pages