28 juin 2016
Je souffre….
Je souffre. Je lis et je souffre, mais je veux savoir. Je dois me rendre jusqu’au bout.
Au bout de l’Orangeraie, que, avant les mots qui racontent, j’imaginais toute lumineuse.
Avant les mots de Larry Tremblay. Mots intemporels. Mots images «…le plancher orphelin de ses murs, en deuil de ses habitants.» p. 51. Mais surtout mots coups de poing.
Je ne veux pas trop en dire, je vous conseille même de ne pas lire les critiques. Contentez-vous du résumé sur la quatrième de couverture. J’ose dire, commencez cette lecture en toute innocence.
Bonne lecture à toi Nicole et à vous aussi !
Louise Lefebvre
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L’Orangeraie / Larry Tremblay / Alto, (2013) 2016, 160 p.
Prix des libraires du Québec
Prix littéraire des collégiens
Finaliste : Prix littéraire du Gouverneur Général
Adapté par l’auteur et joué au Théâtre Denise-Pelletier de Montréal en avril dernier.
Impressionnant!
L’expression de ton état d’âme fait peur.
Un choc ressenti, c’est évident.
Je devrais avoir le livre dans quelques jours. Je te reviens.
J’avais planifié aller voir la pièce au printemps, mais une surabondance de sollicitations culturelles m’a fait rater le coche.
Le 2016-06-28 20:03, Louise Lefebvre a écrit :