6 janvier 2024
Après avoir dénoncé la caricature dont est affublée la génération Z,
«Il est plus que temps que la stéréotypisation de cette génération soit jetée aux oubliettes»
Après avoir démontré que les jeunes ne sont pas des «enfants rois», après avoir comparé la génération Z à la génération précédente, après avoir projeté cette génération dans l’avenir,
Alexie Pollender-Leclerc, étudiante en sciences politiques à l’Université de Montréal et signataire d’un texte d’opinion dans Le Devoir, Enfants rois? fait cet important rappel que je répercute sans cesse depuis mes années d’enseignement:
«(…) le comportement d’un enfant est dicté par l’éducation que lui donnent ses parents.»
De plus, je me rallie à son conseil:
«Au lieu de critiquer et d’attaquer gratuitement la nouvelle génération, il serait sans doute plus pertinent pour les générations qui la précèdent d’opter pour une autocritique afin de s’interroger sur les impacts qu’elles ont eus et auront sur leur descendance.»
Que les jeunes soient irréprochables, nous n’en sommes pas là, mais les générations antérieures ne le sont pas non plus et qu’est-ce qu’elles ont enseigné? Quels exemples ont-elles donnés?
Bien connu: toujours plus facile de critiquer les autres que de faire de l’introspection et d’agir sur soi.
Source:
POLLENDER-LECLERC, Alexie / Enfants-rois? / Le Devoir / section Libre opinion / 6 janvier 2024