6 novembre 2024
De Marie-Jeanne Richard à Marie-Lumière, c’est le parcours de transformation que nous trace Lucie Pagé dans son roman Marie-Lumière.
Son héroïne, née d’’une mère Mohawk, est médecin. Elle est mal dans sa peau et ne trouve pas de réconfort dans les médicaments et les thérapies. Elle consent à «essayer une plante médicinale ancestrale de l’Amazonie.»
Elle «participera donc à une cérémonie d’ayahuasca (…) sur le territoire mohawk de Kanehsatake.» C’est ainsi qu’elle deviendra Marie-Lumière et «entreprendra de construire un pont entre les plantes médicinales autochtones et la médecine occidentale.» (Quatrième de couverture)
Un lecteur enthousiaste commente de façon fort intéressante ce roman sur le site suivant.
Ces pages sont riches d’informations et d’objets de réflexion, de méditation.
«La douleur est une émotion. La souffrance est un chemin.» (p. 245)
«Il ne suffit pas de manger bio et de se chauffer au solaire. Il n’y aura pas de changement de société sans changement humain. Et pas de changement humain sans changement de chacun. J’espère que l’humanité. Comprendra enfin que la grande mutation sera celle de l’âme humaine. Pierre rahbi » (p. 262).
Mais à l’heure où un coup de grisou vient de frapper les USA difficile de résister au doute…
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Source:
PAGÉ, Lucie / Marie-Lumière / Libre expression / Montréal / 2021 / 282 pages