30 novembre 2019
Parmi les lecteurs de Stéphane Laporte qui signait aujourd’hui dans La presse plus, «Un cadeau de Noël en novembre», plusieurs ont sans doute vécu une souffrance équivalente, celle suscitée par le constat que même si l’on veut intensément, on ne peut pas toujours.
Au-delà de la détermination puis la peine de l’enfant, ce que je retiens, ce sont les comportements de la mère et du frère.
Quel amour!
Quel soutien!
Quel empathie!
Quel courage aussi!
Et pour nous, quelle leçon de vie!
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Extrait du texte que vous pouvez lire au complet sur le site de la La Presse +
«Et chaque fois, ils sont témoins d’une de mes chutes spectaculaires. Je tombe toutes les trois secondes. Je ne suis pas un patineur, je suis un flocon. Ça leur brise le cœur.»
Ce texte de Stéphane Laporte a suscité plusieurs commentaires de gens autour de moi.
Les voici :
– Quelle merveilleuse histoire vraie de Noël !
– Superbe histoire……. qui m’a fait pleurer avant la fin……
– Oui, vraie et touchante cette histoire, et quelle délicate attention de la part de la maman!
– Quelle belle histoire touchante! Et quelle maman merveilleuse !
– Bien malgré moi des larmes ont coulées. Mais la vie est bien faite car si nous avons le cœur brisé pour un rêve qui nous a laissé tombé, il y a autre chose de plus grand qui nous attend.
Et en terminant, le commentaire de mon fils « Cool comme histoire. C’est un Jean Béliveau de la machine à écrire! »
Merci, Louise, d’avoir porté cet article à mon attention, ainsi que les commentaires.